TAI-JITSU DO
MONTIGNY - LE - BRETONNEUX
reservé aux membres
LES DIX COMMANDEMENTS
DU TAÏ-JITSUKA
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Je salue le dojo et le tatami (en entrant et en sortant)
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Je porte des tongues ou des zoris pour venir du vestiaire au tatami
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Je porte un kimono propre et je ne porte aucun bijou (bague, chaîne, montre, grosses boucles d’oreille…)
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Je me lave les mains avant l'entraînement, mes ongles des mains et des pieds sont coupés
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J’adopte sur le tatami une attitude martiale
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En cas de blessure, je préviens le professeur qui me dispensera de certains exercices
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Si je désire boire, je demande systématiquement l'autorisation au professeur
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Si je désire quitter le tatami, je demande systématiquement l'autorisation au professeur
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Seuls les éléments féminins portent un t-shirt sous le kimono
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Je donne le maximum de moi-même sur le tatami
PREMIERE PARTIE :
Historique du TAI-JITSU, à l’usage des pratiquants de TAI-JITSU DO
Au moment où nous opérons un recentrage sur l’éthique dans notre discipline, il semble opportun d’en profiter pour repréciser les origines du TAI-JITSU.
Ce document servira de support aux enseignants afin qu’ils diffusent un message clair et précis à nos pratiquants. La transmission de ce message est partie intégrante de l’enseignement. Une évaluation de ces connaissances sera intégrée à l’atelier « Culture et Tradition ».
Grâce, ou à cause, de l’accès à l’information en temps réel, on peut lire et entendre toutes sortes de définitions plus ou moins éclairées sur la genèse de notre discipline. Celles-ci conduisent à un flou « artistique » lorsqu’ il s’agit de définir les origines et les fondamentaux du TAI-JITSU DO.
L’une des grandes interrogations actuelles sur la naissance du TAI-JITSU est de savoir si c’est un art martial ancestral venu du Japon ou s’il a été créé en Europe par une équipe de pratiquants français d’arts martiaux traditionnels.
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Existait-il une discipline martiale japonaise, du nom de TAI-JITSU que nous aurions « copiée » et aménagée ?
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Existait-il un pratiquant de cette discipline (J.Alcheik), qui aurait diffusé ses connaissances à l’un de ses élèves (R.Hernaez) ?
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Est-ce une discipline purement française ?
A toutes ces questions il n’existe pas aujourd’hui, de réponses impératives, mais plutôt des interprétations personnelles qui évoluent au fil du temps et des opportunités.
La connaissance des origines de notre discipline que nous allons vous livrer, repose sur le vécu et les participations de certains à la naissance du TAI-JITSU.
Tout commence dans les années 60 et le début des années 70...
Début des années 50, Roland Hernaez alors jeune professeur de Judo, Karaté Do et Aikido, forme un grand nombre d’élèves dans ces trois disciplines. Certains, successivement élèves, assistants et enseignants, tout en pratiquant régulièrement les trois écoles, s’orientent plus ou moins vers l’une ou l’autre en fonction de leurs affinités.
En 1967, sous son impulsion, et à la demande de quelques anciens, (pratiquants depuis 1958 et 1962 pour la plupart) il est décidé de réfléchir à une méthode de « self défense française ».
Le groupe de travail au départ regroupe entre autres pionniers : R . Hernaez, G.Hernaez, D.Dubois, S.Eisenhuth, C. Doudou, R.Duboust, G.Eisenhuth ... dans une moindre mesure : JP.Serta, A.Da Cuna, et d’autres selon l’avancée des travaux.
Des réunions de travail se tiennent dans une petite salle derrière la gare de Rueil Malmaison (92).
A l’époque il n’est pas question du nom de TAI-JITSU inconnu pour la plupart des participants. R.Hernaez, en avait peut être connaissance par son travail avec J.Alcheik, mais il n’en a pas informé le groupe de travail et de ce fait n’a pas influencé sa réflexion en ce sens.
La recherche s’appuie sur des constats :
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Efficacité en self défense
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Utilisation des techniques appropriées de chaque discipline que nous pratiquions
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Créer une attirance pour les nouveaux élèves
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Simplicité de pratique par rapport aux disciplines japonaises alors très strictes
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Situation où la vie du pratiquant peut être mise en danger.
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Complémentarité de chaque discipline
Les bases de travail sont définies en utilisant les attaques de base utilisées en Aikido et Ju-Jitsu.
Les défenses utilisent les atémis du Karaté Do, les clés de l’Aïkido et les projections du Judo, transformés et réadaptés aux circonstances de la self-défense. Par exemple : travail différent des déplacements, projections plus spécifiques et directes, etc. … afin d’obtenir rapidement le maximum d’efficacité.
Il est décidé aussi pour des raisons d’attractivité auprès des européens, de ne pas introduire de Kata au départ de cette discipline.
Au fur et à mesure des travaux, R.Hernaez par sa qualité d’enseignant sportif, propose une méthode pédagogique structurée, aidé et accompagné en cela par D.Dubois. Le groupe la veut, non figée, évolutive et surtout praticable par tous quelle que soit la morphologie, la force physique et la préférence technique
Des contacts avec le Maitre Minoru MOCHIZUKI, éclairent différemment l’approche.
Il semble qu’au Japon le mot « TAI-JITSU » existe bel et bien. Ce n’est pas un art en soi mais un terme générique utilisé dans de nombreuses écoles de JU-JITSU pour définir la pratique à mains nues.
Dès lors et après accord du Maitre M.MOCHIZUKI, il est décidé d’opter pour le nom TAI-JITSU (TAI=Corps, JITSU=Technique) comme appellation de la méthode, pour en faire une discipline martiale à part entière.
L’association TAI-JITSU, prend forme dans « BUDO- ACADEMIE» fin 1967 et regroupe les divers membres du groupe de travail et les pratiquants.
En 1972 un stage au Japon auquel participent R.Hernaez, G.Hernaez et D.Dubois confirme cette appellation et apporte la vision technique du Shorinji-Kempo, qui influencera plus tard une branche du TAI-JITSU.
Pendant 4 années à partir de ce stage le groupe de travail s’attelle à réellement structurer la méthode. Les deux principaux instigateurs et moteurs en sont R.Hernaez et D.Dubois qui de ce fait en font les deux co-fondateurs.
Le TAI-JITSU ORIGINEL, discipline martiale, est né.
Cette première partie répond de manière précise aux questions sur les origines :
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OUI. Le nom TAI-JITSU existait au Japon bien avant que la discipline soit créée en France, mais c’est un terme générique et non une discipline.
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NON. L’équipe n’en était pas informé au départ des travaux.
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OUI. Le TAI-JITSU est bien une méthode créée par des pratiquants français.
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OUI. Le TAI-JITSU, s’appuie à l’ origine sur une combinaison de techniques venues du JUDO, du KARATE, de l’AIKIDO, mais transformées et adaptées techniquement et structurées en une progression pédagogique.
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NON. De ce fait, ce n’est pas un Art Martial Japonais au sens stricto sensu du terme mais bien une méthode française tirant son inspiration d’Arts Martiaux Traditionnels japonais.
La Fédération Française de TAI-JITSU (FFTJ) vivra librement jusqu’en 1977, sous la forme d’une Association de loi 1901.
En 1977, le Ministère de La Jeunesse et des Sports français délègue ses pouvoirs au Karaté Do et à l’Aïkido (jusqu’à lors sous l’égide de la Fédération de Judo « FFJDA ») leur permettant ainsi de créer leur propre fédération délégataire. Pour des raisons d’affinité un protocole d’accord est signé avec la toute nouvelle FFKAMA dans le but d’assurer le développement rationnel du TAI-JITSU, de faire reconnaitre les grades au niveau national et de permettre la préparation et l’obtention de diplôme d’état pour les enseignants. La FFTJ disparait et devient une association affiliée à la FFKAMA.
Ce protocole implique que des évolutions techniques soient apportées à la méthode traditionnelle pratiquée jusque là :
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Structuration de bases techniques avec défenses par atémis, clés, projections prédéterminées.
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Obligation d’intégrer des KATAS.
Le TAI-JITSU évolue alors :
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8 Techniques de bases sont instaurées en remplacement des attaques « Aikido,
ju-jitsu »utilisées jusqu’alors.
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3 Katas sont créés : 1°Kata par R. Hernaez, 2°Kata par G. Hernaez, 3° Kata par D. Dubois afin de répondre aux exigences du DTN
De 1977 à 1985, le TAI-JITSU se développe au sein de la FFKAMA, sous une seule et unique entité.
Des divergences de vue obligent R.Hernaez à quitter la FFKAMA en 1985. L’association reprend alors son autonomie sous la forme de Fédération Française de Tai-Jitsu avec un Président élu en Assemblée Générale : S. EISENHUTH (1986-1988).Des rapprochements sont effectués par la FFTJ auprès de la Fédération Française de Judo mais n’aboutissent pas. Le TAI-JITSU ORIGINEL reste au sein de la FFKAMA sous la direction technique de D.Dubois et membre du Comité Directeur. L’association ETJE verra le jour au cours de cette période.
Des déboires juridiques contraignent R.Hernaez à prendre une autre appellation pour sa discipline et à envisager son retour au sein de la FFKAMA.
Ses contacts avec des maitres Japonais illustres, lui permettent d’obtenir la possibilité d’appeler son école : NIHON TAI-JITSU. A partir de ce moment, la technique de celle-ci va diverger du TAI-JITSU ORIGINEL pour intégrer des formes de corps et des mouvements proches du Shorinji Kempo et de la forme chinoise. D’autres différences techniques s’ajouteront au fil du temps par l’apport de l’enseignement du Maitre MOCHIZUKI.
En 1988, le NTJ retourne sous la tutelle de la FFKAMA au sein du KARATE JITSU et la Fédération Française de Tai-Jitsu (FFTJ), disparait par la suite.
On voit alors cohabiter deux formes de TAI-JITSU au sein de la FFKAMA. L’ORIGINEL et le NIHON.
La FFKAMA impose petit à petit des changements qui perturbent les dirigeants du TAI-JITSU :
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Obligation d’intégrer des formes de corps et des techniques plus KARATE
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Passage de grade avec une partie KARATE obligatoire
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Compétitions
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Sport de combat au détriment de l’Art Martial
Pour garder au TAI-JITSU son essence et ses valeurs, D.Dubois décide de quitter la tutelle de la FFKAMA en 1999.
Au sein de la FFKAMA devenue FFKDA, de nouveau deux écoles cohabitent ; le Nihon Tai-Jitsu s’inspirant de formes « kempo » et des pratiques martiales MOCHIZUKI et une forme de Karaté-Jitsu qui abandonne les fondamentaux du TAI-JITSU au profit d’une approche plus sport de combat.
D.Dubois crée alors une structure européenne de TAI-JITSU (TJDE) et appelle son école
TAI-JITSU DO. Il rejoint la FEKAMT en 2000
Le choix du « terme DO » n’est pas anodin. Il rappelle que cette école se conforme à la « voie » dans tous les sens du terme :
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La conception originelle
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La voie du BUDO
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Le Respect des valeurs créatrices du TAI-JITSU.
Le TAI-JITSU DO est aujourd’hui le style de TAI-JITSU qui tout en évoluant pour s’adapter à notre société, est resté le plus proche des critères et objectifs souhaités par ses fondateurs.
S.EISENHUTH
Responsable COMMISSION ETHIQUE TJD
FFKAMA : Fédération Française de Karaté et Arts Martiaux Affinitaires
FFKDA : Fédération Française de Karaté et Disciplines Associées
FEKAMT : Fédération Européenne de KaratéDo et Arts Martiaux Traditionnels.
FFTJ : Fédération Française de Tai-Jitsu AFTJ : Association Française de Tai-Jitsu
TJDE : Tai-Jitsu Do Europe TJD : Tai-Jitsu Do NTJ : Nihon Tai-Jitsu ETJE : Europe Tai-Jitsu Extension.
DEUXIEME PARTIE :
Le suffixe « DO » suffit en lui-même pour rappeler à TOUS les devoirs et obligations concernant les attitudes à adopter sur (et hors !) les tatamis.
*La Commission sera toujours attentive aux dérives éventuelles (internet, blog…) et se réunira annuellement (vidéo conférence, réunion …) et/ou ponctuellement si un besoin d’urgence s’en fait sentir.
Définition de l’ETHIQUE (sens figuré) :
Ensemble des règles de conduite propres à un milieu.
« Aucune confusion n'est plus courante, ni plus grave, que celle entre l'éthique et la morale. Dans le langage courant, on utilise indistinctement l'un et l'autre terme pour désigner ce qu'il serait « bien » de faire. Or il est deux sens très différents dans lesquels il peut être « bien » d'agir d'une certaine manière. Ce peut être: Ou bien la manière dont un individu préfère agir, à un moment donné, parce qu'il juge ses conséquences meilleures que celles de toute autre action possible; ou bien la manière dont tout individu devrait toujours agir, parce que ne pas agir ainsi serait « mal » agir.
Le premier cas correspond à l'éthique, c'est-à-dire aux préférences de chaque individu quant à sa propre vie.
Le second cas correspond à la morale «Jérémie T. A. Rostan »
De même, éthique et étiquette sont trop souvent mélangées. Elles forment ensemble les codes, les devoirs et règles comportementales mais ne doivent pas être confondues.
L’éthique interroge sur les valeurs morales et les principes moraux qui devraient orienter nos actions, dans le but d'agir conformément à ceux-ci. -L'éthique s’inspire de SHIN-GI-TAI et conditionne celui-ci. Elle est inspirationnelle et pas normative. Elle ne peut souffrir aucune concession. C’est une manière d’être
L'étiquette est normative. C’est un ensemble de conventions de civilités et de protocoles. Elle touche à des éléments visuels, relationnels et matériels : ceinture, logo, saluts etc. Elle découle de l'éthique mais peut changer demain car relève d'une décision. On peut concevoir des concessions prenant en compte le contexte ou les situations (ex. salut simplifié) C’est plus un savoir vivre.
Dans le cas de notre discipline le TAI JITSU DO, même s’il existe des valeurs communes aux arts martiaux en général, Nous insistons sur le « DO » « la VOIE »
« Arrêtons-nous un instant sur cette « voie » qui différencie le TAI-JITSU-DO des autres écoles.
DÔ
C’est le moine japonais Dôgen (1200-1253) dont le nom signifie « origine de la voie » qui offre pour la première fois une synthèse des différentes interprétations : le but et la pratique ne sont qu’un.
DÔ est donc une notion dynamique de progression à l’intérieur d’un domaine particulier dont la découverte ne vient que par l’expérience et la persévérance.
Dans la pratique du Taï Jitsu Do, le DÔ s’apparente à la recherche de l’harmonie spirituelle, physique et comportementale comme de l’appartenance à l’équipe.
Son enseignement intègre la valeur d’exemplarité que doivent véhiculer tout dirigeants, professeurs et hauts gradés mais aussi tout pratiquants, aussi bien dans le cadre de sa pratique que dans la vie de tous les jours ». (Extrait du mémoire 5°dan de S.Eisenhuth)
« L’Art Martial est la voie qui permet de se découvrir soi même et de se construire en tant qu’être humain… »
Me Nobuyoshi Tamura
Les documents suivants présentent quelques fondamentaux sur lesquels s’appuient les axes de travail et de réflexions qui guident notre éthique.
LE COMPORTEMENT et LES VALEURS:
L’IMAGE
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BUSHIDO = VOIE DU GUERRIER
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RESPECT (REI) : Sans respect aucune confiance ne peut naître
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SINCERITE (MAKOTO) : Etre franc, loyal et de bonne foi
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HONNEUR (MEIYO):Etre fidèle à la parole donnée,
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HUMILITE (KYOKEN):Rester modeste et sans orgueil
RAPPEL de l’ETHIQUE et de la mise en pratique de la BASE du SHIN
Même si il n’est pas question d’omettre et de remettre en cause les témoignages d’amitiés et de fraternités qui caractérisent l’esprit et les relations entre pratiquants de notre discipline, force est de constater que certains comportements en ternissent la notoriété, le sérieux et la voie martiale(DO).
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Accolades et embrassades sur les tatamis ne peuvent plus être tolérées. Seul le salut est de rigueur.
Réservez celles-ci aux parties communes de la salle d’entraînement mais en aucun cas dans le DOJO.
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L’apprentissage du SHIN commence avec le respect du DOJO et du TATAMI pour tous les pratiquants quel que soit leur niveau.
CONCRETISATION DE CES VALEURS « SHIN » DANS LA PRATIQUE:
COMPORTEMENT
Il est bon de rappeler l’importance des saluts dans la pratique d’un art martial et plus particulièrement dans celle du TAI-JITSU-DO :
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• RESPECT DU DOJO : Salut en entrant et en sortant du DOJO et du TATAMI (si possible en direction du SHOMEN)
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• RESPECT ENTRE PRATIQUANT :
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• SALUT EN GROUPE
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• SALUT ENTRE PARTENAIRES
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SALUT EN GROUPE
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Deux formes de salut : debout et à genoux
Disposition des pratiquants sur le TATAMI
Commandements
Attitudes: Attention à la différence des pivots entre les saluts « debout » et « à genoux »
Debout : pivot dans le même sens de tous les « sensei (s) »
A genoux: pivot des assesseurs vers « le sensei »
SALUT ENTRE PARTENAIRES:
Au début du travail à 2:
Pieds ouverts en V à 30°.
Inclinaison légère sans regarder le partenaire
Prononcer: (conseillé)
DOZO (s’il vous plait) Notion d’apprentissage partagé et d’échange
• A la fin du travail:
Même attitude mais prononcer:
ARIGATO (Merci) Respect de l’échange
RESPECT DES CONSIGNES ET DE L’ENSEIGNEMENT :
• Contrôle, attention et positionnement.
• Ne pas travailler une autre technique que celle montrée par l’enseignant sans son accord.
• Comportement martial sur les tatamis :
• Silence
• Ecoute
• Partage
• travail
• RESPECT DU TATAMIS : Ne pas quitter le TATAMI sans l’accord de l’enseignant ou de ses assistants. Ne pas remonter sur le TATAMI sans l’accord de l’enseignant. (position d’attente digne sur le bord)
• RESPECT DES GRADES et de leurs implications : Humilité, respect, saluts
UTILISATION DU JAPONAIS:
L’utilisation du japonais rappelle l’origine de l’enseignement suivi par les fondateurs et celle des techniques et valeurs fondatrices de notre art martial.
Nous le pratiquons
• Lors des saluts en groupe
• Lors des saluts entre partenaire
• Pour compter:
• 1 ICHI
• 2 NI
• 3 SAN
• 4 SHI
• 5 GO
• 6 ROKU
• 7 SHICHI
• 8 HACHI
• 9 KU
• 10 JU
L’IMAGE
Il est fondamental que nous véhiculions une image attirante tant pour le public que pour les futurs pratiquants. L’importance de notre comportement, de notre aspect en général reflète le sérieux de notre discipline. Les bases en sont :
• LA TENUE
• LES CEINTURES
• LES DIPLOMES
TENUE et CEINTURES
• TAI JITSUGI Blanc (pliage traditionnel)
• ECUSSON FEDERAL / CLUB sur le COEUR
Autre sur épaule gauche même hauteur
Lors des passages de grade ou de manifestation tel que « tournoi » par exemple les membres du jury portent un brassard : BLANC avec l’inscription « JUGE » en ROUGE et les « kanjis TAI JITSU DO » en NOIR.
CEINTURE NOIRE
TAI JITSU DO brodé en kanji dorés sur un bout
Niveau du DAN brodé en kanji doré sur l’autre bout.
Au fur et à mesure nous souhaitons que l’ensemble des pratiquants se conforme à ces règles aussi bien dans leur club respectif que lors de participation aux stages régionaux.